Les Etats de l’AES ont réaffirmé leur détermination à quitter la CEDEAO de manière irréversible. En réponse au report par la CEDEAO, le 15 décembre 2024, du retrait de l’AES à juillet 2025, les dirigeants de l’AES ont dénoncé une manœuvre orchestrée par la France et ses alliés visant à maintenir l’instabilité dans la région. Les accusant de soutenir les groupes armés terroristes actifs au Sahel et dans les zones frontalières, l’AES a annoncé prendre des mesures fortes :
. Mise en alerte maximale des forces de sécurité.
. Coordination renforcée des opérations militaires au sein de l’espace confédéral.
. Mobilisation des populations pour rejeter toute tentative d’enrôlement terroriste.
. Ce situation reflète l’opposition majeure entre une CEDEAO désireuse de préserver son influence et une AES déterminée à affirmer sa souveraineté, en renforçant de nouvelles alliances stratégiques, notamment avec la Russie.